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La greffe de cellules souche HST vs interventions FUE et FUT low cost
Quelles sont les principales différences entre une greffe de cellules souche et une intervention FUE et FUT ? Cet article vous explique les différences.
HAIR STEM CELL TRANSPLANTATION
Il existe différentes techniques de transplantation de cheveux. Chacune d’elles peut être réalisée dans différentes localités internationales. Le coût de ces interventions dépend de nombreux facteurs, du personnel qui l’exécute, des règles sanitaires du pays et de la sécurité de l’exécution : chaque patient potentiel a donc la possibilité, étant informé, de choisir la technique, le pays d’exécution et de savoir à quoi correspond en termes de résultat et de risque le prix plus ou moins élevé qu’il choisit de payer.
FUT (Follicular Unit Transplantation)
Consiste à prélever en salle chirurgicale une bande de cuir chevelu (STRIP) de la zone donneuse qui est ensuite suturée. À la suite de cette intervention, il se crée dans la zone de prélèvement suturé une cicatrice qui reste évidente si on porte les cheveux courts. C’est une technique qui pour être efficace doit être effectuée par des chirurgiens expérimentés, mais elle est coûteuse parce que les salles d’opération et le personnel chirurgical sont coûteux. Il n’est pas à la portée de tous les opérateurs et est une véritable opération chirurgicale.
La FUE (Follicular Unit Extraction)
Consiste en un prélèvement de la zone donneuse (à l’aide d’aiguilles circulaires allant d’un diamètre de plus d’un millimètre jusqu’à un minimum de 0,8 millimètre) d’unités folliculaires individuelles. Ce prélèvement est effectué soit manuellement ou par l’intermédiaire d’unités robotisées. Selon le diamètre de l’aiguille utilisé, il peut y avoir des dégâts sur les unités folliculaires prélevées ou sur celles contiguës à celles extraites.
Cela a une incidence considérable sur les taux de repousse des cheveux transplantés. A chaque point de prélèvement il y aura une petite cicatrice. L’ensemble de toutes les cicatrices résultant de toutes les extractions créent une fibrose du cuir chevelu qui provoque son durcissement et qui limite la possibilité de procéder à des interventions successives. Les praticiens de cette technique sont souvent des médecins débutants ou même du personnel moins qualifié.
Les réglementations des différents pays forment déjà une différenciation substantielle entre les types d’opérateurs : en Suisse, seul le personnel médical ou infirmier diplômé peut intervenir. À l’étranger, comme en Turquie par exemple, les règlements sont beaucoup moins exigeants et donc vous pouvez trouver des opérateurs absolument non qualifiés et des lieux d’intervention non adaptes à la chirurgie. Le patient qui choisit de faire effectuer de telles interventions là où il n’existe pas de règles sanitaires exigeantes, doit être conscient des risques accrus qu’il court. Il est compréhensible, compte tenu de tout ce qui précède, que le coût d’une telle intervention soit inférieur à celui d’une FUT. Toutefois, dans les pays étrangers où le règlement sanitaire n’est pas aussi rigoureux qu’en Suisse, par exemple en Turquie, on comprend que l’intervention effectuée dans des locaux non contrôlés, par des techniciens non diplômés, sans le respect des règles sanitaires de base imposées en Suisse, peut sembler, pour le patient non informé, très compétitif.
HST (Hair Stemcell Transplantation) également appelée PL-FUT (Partial Longitudinal Follicular Unit Transplantation)
Est une technique innovante et brevetée qui prévoit une extraction partielle du bulbe pileux à l’aide d’instruments chirurgicaux extrêmement petits et spécialement étudiés, de dimensions de 0.5 /0.6 mm. L’extraction partielle est pratiquement exempte de tissu épidermique et les cellules souches de la repousse sont présentes dans la portion extraite et dans celle restée in situ. La portion de bulbe qui n’a pas été enlevée génère en quelques mois la repousse du même type de cheveux avant la chirurgie.
Cependant, la partie prélevée présente les cellules souches pileuses directement exposées à l’environnement. Elle est ensuite immergée dans un complexe médicamenteux breveté qui permet la survie de celui-ci qui autrement, vu la petitesse de celui-ci, périrait. Ce médium breveté qui, parmi les autres composants médicamenteux, contient des exosomes, donne au prélèvement la force et l’énergie nécessaires pour survivre et s’enraciner dans la zone de réception. En plus, avec un taux de survie très élevé situé entre 95 et 98 pour cent.
Cette technique est la seule à garantir la repousse et la régénération de la zone donneuse, permettant ainsi de répéter des interventions successives à quelques mois d’intervalle sans procurer aux zones donneuses aucune des lésions que FUT et FUE provoquent. Cette technique est disponible en Italie, en Suisse et dans d’autres pays européens où des réglementations sanitaires plus strictes, sévères et exigeantes sont appliquées, tant au niveau des opérateurs qu’à celui des locaux d’intervention.
International Society of Hair Restauration conseille prudence concernant cliniques étrangères
Il est à cet égard porté à la connaissance des patients potentiels que l’IHRS (International Society of Hair Restauration) qui est la principale association internationale sur la transplantation capillaire, a émis un communiqué qui suggère aux patients potentiels la plus grande prudence avant de s’en remettre à des cliniques étrangères à bas coûts et en particulier en Turquie.
En effet, il existe dans ce pays environ un millier d’établissements dédiés à la transplantation de cheveux, mais seulement une trentaine de chirurgiens dédiés à cette activité. Cela signifie clairement que la grande majorité de ces structures turques sont suivies par du personnel technique non médical. Ce fait est facilement compréhensible dans les conséquences désagréables probables.
HST Ligne frontale adaptée au patient
En Italie, en Suisse, etc. cependant, les qualifications et l’expérience du chirurgien auquel on veut s’appuyer sont disponibles et à la disposition des patients potentiels. La compétence esthétique de ces médecins permet également d’obtenir un dessin de ligne frontale adapté à la typologie ethnique du patient (chaque type a son propre type de ligne frontale). On sait, en effet, que tous les patients qui subissent une transplantation de cheveux en Turquie se voient dessiner et transplanter une ligne frontale « à la turque » qui est en totale dissonance avec les critères esthétiques d’autres populations.
Manque de références des équipes médicales à l’étranger
À l’étranger et en particulier en Turquie, les références de la personne qui effectuera l’intervention ne sont pas disponibles avant le jour de l’intervention. Ceci est à prendre en considération parce que les dommages qui peuvent être causés lors d’une transplantation mal exécutée (par exemple nécrose du cuir chevelu ou prélèvement excessif de unités folliculaires) peuvent compromettre non seulement le résultat de cette intervention, mais aussi exclure la possibilité d’interventions ultérieures si celles-ci sont nécessaires.
En outre, dans le cas malheureux qu’une transplantation capillaire présente des complications désagréables, il n’est pas toujours dit que la situation puisse être récupérée.
Absence de contrôles périodiques à l’étranger
Il faut également garder à l’esprit que pour obtenir les meilleurs résultats d’une greffe, il faut suivre son évolution dans le temps. À partir de la période pré-greffe dans le but de déterminer les causes réelles de la perte de cheveux et l’évolution possible. Les contrôles périodiques après l’intervention sont tout aussi importants pour obtenir un résultat satisfaisant. Il est compréhensible aussi que le fait de ne pas avoir à voyager à l’étranger soit un facteur non négligeable en faveur du contrôle périodique.
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