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MÉTHODE BREVETÉE POUR LA MULTIPLICATION DES CHEVEUX IN VIVO

HST est une méthode brevetée qui multiplie les cheveux grâce à une clonation in vivo.

HAIR STEM CELL TRANSPLANTATION

La reproduction et la multiplication des cheveux est à la base de la méthode utilisée avec la technique Hair Stemcell Transplantation ou HST, pratiquée dans les Hair Science Clinics comme celle récemment ouverte à Lausanne. Cette méthode a fait l’objet d’un brevet à diffusion mondiale en 2005. Les cheveux sont prélevés de la zone donneuse en phase anagène, en veillant à ce que les cellules souches des cheveux qui sont responsables de leur croissance restent attachés aux cheveux prélevés. Les cheveux extraits sont immergés dans une préparation pharmaceutique brevetée et entrent en contact avec des composants de la matrice extracellulaire et sont ensuite implantés dans le cuir chevelu de la zone receveuse.

Description du brevet de multiplication de cheveux par transplantation

Les cheveux sont générés et poussent à partir des follicules pileux présents dans la peau du cuir chevelu. Ces follicules pileux produisent des cellules appelées kératinocytes. Pendant la croissance vers la surface du crane, le cytoplasme de ces cellules se transforme de manière complexe, en formant une matière dure et élastique : le cheveu. Le cycle de croissance des cheveux est divisé en trois phases : la phase anagène (« phase de croissance »), la phase catagen (« phase de transition ») et la phase telogen (« phase de chute »). Le follicule pileux est toujours le même pendant la phase cyclique de la formation et de la croissance des cheveux. Ce follicule possède un noyau de croissance, qui produits de nouveaux cheveux après la chute des cheveux précédents.

L’utilisation de la méthode brevetée HST dans la calvitie

La calvitie est souvent un phénomène indésirable d’un point de vue esthétique. La calvitie est cependant un phénomène répandu qui frappe les hommes au fur et à mesure qu’ils vieillissent. La calvitie est également présente chez les femmes et est particulièrement indésirable d’un point de vue esthétique. Pour lutter contre la calvitie la solution la plus utilisée est la greffe de cheveux. La technique FUT appelée aussi strip et la technique FUE prélèvent de la zone donneuse à l’arrière de la tête les unités folliculaires entières. Ces UF qui contiennent d’un à quatre cheveux sont transplantés en zone receveuse. Le prélèvement se fait au détriment de la zone donneuse et ceci constitut un problème. Les unités folliculaires sont retirées de cette zone pour être déplacées ailleurs. Là ou elles ont été extraites il n’y a plus rien qui pousse. La zone donneuse reste partiellement vidée. Ces techniques de transplantation offrent donc des possibilités limitées de restauration capillaire et sont limitées par la quantité de cheveux prélevable en zone donneuse.

La multiplication des cheveux in vitro ou in vivo à travers la totalité du bulbe pileux

Les cellules souches contenues dans une unité folliculaire peuvent être mis en culture une fois prélevées par extraction chirurgicale. Il est difficile de reproduire un épiderme entier avec ces cellules en culture, in vitro ou in vivo. Les cellules souches pilifères prélevées sur des souris et mises en culture génèrent la croissance de poils lorsqu’elles sont implantées. Dans le cas de l’homme, la méthode de reproduction des cheveux est décrite dans la demande de brevet européen 0 236 014, dans laquelle les cellules souches pilifères épidermiques sont retirées du crâne du patient. Les cellules souches sont ensuite cultivées dans un composant pharmaceutique contenant des facteurs de croissance. Une incision est ensuite pratiquée dans le cuir chevelu et les portions de cellules souches y sont introduites. L’inconvénient de cette méthode in-vitro est qu’elle est invasive et que les cellules souches ne sont pas implantées de manière ciblée, donc de nombreuses cellules sont nécessaires et la probabilité de régénération des cheveux est moindre.

La spécificité de la méthode brevetée Hair Stem Cell Transplantation, ou transplantation partielle longitudinale

Une autre méthode de reproduction des cheveux (in vivo) est décrite dans la demande de brevet européen 0 971 679. Dans ce cas, des portions d’unités folliculaires sont retirées de la zone donneuse. L’autre portion non prélevée repousse ainsi au même endroit du prélèvement. Les cellules souches extraites sont immergées dans un composant pharmaceutique. Ces cellules ainsi fertilisées formeront des nouveaux cheveux une fois implantées en zone receveuse. Il est donc possible d’obtenir une repousse des cheveux sans que cela se fasse au détriment de la zone donneuse, comme c’est le cas dans toutes les autres techniques de transplantation généralement connues. Les cellules souches de l’unités folliculaires prélevées en phase anagène sont immergées dans un milieu de culture de kératinocytes sans sérum.

Le but de cette invention est de surmonter un ou plusieurs problèmes sus mentionnés, et donc de fournir une méthode pour la reproduction des cheveux humains dans laquelle il n’est pas nécessaire un long temps de culture. La matrice extracellulaire est produite à partir des cellules souches existantes autour du follicule pileux. Cette recherche met en évidence que la matrice extracellulaire est essentielle pour la croissance des cheveux. Dans cette invention, les cellules souches ne sont plus cultivés dans un milieu de culture de kératinocytes mais sont simplement immergées pendant une courte période dans une formulation pharmaceutique de matrice extracellulaire. Les cheveux sont ensuite implantés dans la zone receveuse. Avec cette technique, plusieurs cheveux peuvent pousser après la reconstitution d’une unité folliculaire.

Le brevet d’une méthode de reproduction de cheveux technique HST ou PL FUT

La méthode se déroule selon les étapes suivantes :
a) On retire des portions d’unité folliculaire en phase anagène de la zones donneuses de telle sorte que les cellules souches responsables de la croissance restent attachées aux portions extraite ;
b) On met les portions d’unité folliculaire extraites en contact avec un composé pharmaceutique contenant de la matrice extracellulaire ou ses substituts ;
c) On implante les portions d’unités folliculaires après la phase b dans le cuir chevelu de la zone receveuse.

Les cellules souches pileuses se multiplient à partir de la même unités folliculaire

Il n’est donc pas nécessaire de cultiver les cellules souches provenant d’une unité folliculaire ; il suffit de tremper les portions extraites et contenant des cellules souches pilifères dans la formulation pharmaceutique contenant les composants de la matrice extracellulaire.

Les portions d’unités folliculaires sont ensuite placées dans le cuir chevelu dans la zone receveuse. En conséquence, d’une unité folliculaire on en crée d’autres (Clonation in-vivo).

Seuls les cheveux qui sont en phase de croissance (anagène) sont adaptés à la méthode décrite dans le brevet, pas ceux en phase de repos (catagène) ni en phase de chute et remplacement (télogène). Les cheveux en phase anagène sont caractérisés par une forme de l’unité folliculaire caractéristique sur la partie inférieure du cheveu qui est immédiatement reconnaissable par un œil expert. L’ablation des poils en phase anagène peut être effectuée de plusieurs manières, à condition que l’unité folliculaire soit encore attachée au poil enlevé. La différence entre les cheveux dans les différentes phases est clairement visible lorsque les cheveux sont prélevés.

Dans l’étape b) de la méthode brevetée, les cheveux enlevés sont mis en contact avec un milieu qui contient des composants de matrice extracellulaire. Ainsi, un cheveu prélevé peut être immergé pendant une courte période, dans un composant pharmaceutique contenant de la matrice extracellulaire. Un temps de contact plus long n’est pas nécessaire. La phase de culture (longue permanence dans le composant pharmaceutique) n’est donc pas nécessaire.
Le terme « composants de la matrice extracellulaire » est un terme connu des scientifiques. Les composants de la matrice extracellulaire sont par exemple le collagène, la laminine, etc. qui sont déjà disponibles pour la culture cellulaire. Tremper la partie du cheveu à laquelle les cellules souches sont attachées est suffisant pour la reproduction des cheveux selon cette invention. Dans le dernier passage c) les cheveux de la phase b) sont implantés dans le cuir chevelu.

Le composant Pharmaceutique breveté

La partie des cheveux à laquelle les cellules souches sont attachées et qui a été en contact avec un milieu contenant des composants de la matrice extracellulaire est ainsi revitalisée. Par conséquent, l’implantation du cheveu individuel de la phase b) détermine la croissance d’un ou de plusieurs cheveux.

Le composant pharmaceutique a de préférence une consistance visqueuse (par exemple un hydrogel). Ce composant contient des facteurs de croissance et des oligo-éléments. Les cheveux en phase anagène doivent être extraits de la zone donneuse, après avoir été sélectionnés.

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